Quand j’étais jeune, il y avait quelques champs verts dispersés autour de notre maison, et à côté se trouvait un grand arbre. Le ciel était de couleur bleue, l’eau était très claire et le soleil brillait à travers les feuilles. Je n’avais aucun souci dans le monde, je respirais l’air frais, je me jouissais des gloussements, des caquetages, des cacardements, et les rires de mes camarades de jeux. Je me rappelle une fois j’ai confondu des plantules de haricots pour d’herbe à cochon et j’en ai coupé une rangée ; et comme j’avais peur d’être grondée par le propriétaire du champ et mes parents, mes camarades m’ont donné d’herbe à cochon pour dissimuler ; nous avons tous ri comme des enfants vilains à la vue des plantules que j’avais détruites. J’ai continué avec cette vie simple à l’école intermédiaire, sans soucis ni anxiété. Un jour une camarade de classe m’a demandé de lui faire les commissions. A mon retour elle s’est moquée de moi devant les autres : « Regardez-la. Ne pensez-vous pas
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